Biography
Alex Tran is a Montreal-based photographer. After a few years of chasing tropical fish in Panama for his M.Sc. in Biology, he turned to photography to express his curiosity for people and for the natural world.
In his personal projects, he explores the confluence of art and science. In his commercial work, his humanistic approach to photography is sought after by clients, who include Amazon, BMO, Etsy, Frank + Oak, le Grand Costumier, le Jardin Botanique de Montréal, McGill University, Services Canada, l’École Nationale de l’Humour, Zara, and varied creatives and entrepreneurs.
Artist statement
In my photography work, I explore the relationship that humans have with nature using science as a viewpoint.
Scientists are prominently featured in my work, both in documentary photography and portraiture. As they spend years studying the minutiae of their particular study species and learn their field sites inside out, they become so immersed with their environment to the point of becoming one with it. In my photographs, I present them as figures not only working intimately with nature, but also being intertwined with nature.
Technology also plays a role in my photographs. Typically, technology is seen as distinctly unnatural and its insatiable progress as a main cause of nature’s demise. Here, technology manifests itself as a vital tool and ally for nature in the hands of scientists. The meeting of these strange technological contraptions with flora and fauna creates a vision of a utopian world, in which scientists collaborate with nature to achieve a common goal.
My influences come from my background in biology, which has shaped not only my interests but also my process. I approach my subjects the same way a biologist would: distrustful of the obvious, I record my subjects meticulously, as impartially as can be possible, in order to explore the underlying interactions between subject and environment. In doing so, I aim to capture what has become second nature to them.
Contact
alex@alextran.ca
Biographie
Alex Tran est un photographe basé à Montréal. Après avoir passé quelques années à étudier des poissons tropicaux au Panama pendant sa maitrise en biologie, il s’est retourné vers la photographie pour poursuivre sa curiosité pour les gens et pour le monde naturel. À travers ses projets personnels, il étudie la confluence entre l’art et la science. Dans sa pratique commerciale, son approche humaniste à la photographie est recherchée par ses clients, dont la liste inclue Amazon, BMO, Etsy, Frank + Oak, le Grand Costumier, le Jardin Botanique de Montréal, l’Université McGill, Services Canada, l’École Nationale de l’Humour, Zara, et divers artistes, entrepreneurs, et créateurs.
Démarche artistique
À travers mon travail photographique, j’étudie la relation que les humains ont avec la nature en utilisant la science comme point de vue.
Dans mes portraits et mes photographies documentaires, la présence de scientifiques est importante. À travers leur travail, les scientifiques peuvent passer des années à explorer les détails d’une espèce particulière ou à apprendre à connaître intimement leurs sites de terrain. Je les présente dans mes photographies comme des êtres indistincts de leur recherche, entrelacés avec la nature et leur environnement.
La technologie, aussi, joue un rôle important dans ma photographie. Habituellement, elle est vue comme étant manifestement non-naturelle, et son progrès, toujours insatiable, comme une des causes principales de la dégradation de la nature. Ici, la technologie se révèle comme un outil, qui, dans les mains de scientifiques, devient complice avec la nature. La rencontre de ces appareils technologiques inusités avec la faune et la flore créée une vision d’un monde utopique, dans lequel les humains et la nature collaborent pour atteindre un objectif commun.
Mon éducation en biologie a influencé non seulement mes intérêts, mais aussi mon processus. J’approche mes sujets de la même façon que ferait un biologiste: méfiant de l’évident, j’observe et j’enregistre soigneusement, aussi impartialement que possible, dans le but d’explorer les interactions sous-jacentes entre sujet et environnement. Par le fait même, mon objectif est de capturer ce qui leur est devenu seconde nature.